Zoom sur « La terre des Héros : Héritage » – Amélie Hanser

Voilà, je me suis dit que ça pouvait être sympathique d’ajouter à mon blog une rubrique « critiques » où je peux faire une analyse de livres, films ou séries que je regarde (en vérité, la fille a peur d’être à court d’idée pour les articles et se dit « bah, j’ai qu’à parler de trucs que je lis ou regarde, comme ça pas besoin de se creuser la cervelle »… je rigole !)

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Tout d’abord, je dois préciser qu’Amélie Hanser je la connais personnellement. C’est d’ailleurs grâce à elle que ce blog a vu le jour, car elle m’a aidé à tout mettre en place (pour ne pas dire qu’elle a tout fait, car je captais strictement rien à WordPress, shame on me !). J’ai déjà eu le plaisir de lire son roman il y a deux ans de cela et c’est avec plaisir que je l’ai acheté à sa sortie cette année (et là, vous vous rendez compte du temps qu’elle a passé dessus !) pour le relire une seconde fois. Je suis donc obligée de faire un article dessus !

Résumé :

Alors d’abord, je vous mets la quatrième de couverture que moi je trouve franchement badass !

« Malheureusement pour toi, tu es cette personne à leurs yeux. Au fond de toi, tu n’as jamais eu envie d’être cet élu ? De ne pas être une sombre inconnue toute ta vie, mais de connaître la renommée ? Qu’on chante tes exploits des générations durant ? Que ton nom soit dans les livres ? Si tu le veux, tu peux tout abandonner dès maintenant. Refuse la mission et tous t’oublieront. Après tout, la réunion n’a rassemblé que peu de personnes, les peuples ignorent encore ton arrivée. Si tu rejettes ta quête ce soir, tu en décevras certains, mais ils passeront à autre chose. Par contre, si tu décides de l’accepter, tu ne pourras plus faire marche arrière. Plus tu avanceras, plus les rumeurs de ton arrivée circuleront, qu’on le veuille ou non. Et tu ne pourras plus reprendre l’espoir que tu auras donné aux gens. »

 Si c’est pas beau ça ?! Maintenant, un petit résumé à ma façon (excuse-moi Amélie!)

Alors, Aleya, c’est une jeunette de 17 ans qui mène une vie tout ce qui a de plus normale jusqu’à ce qu’elle touche un objet étrange dans les affaires de sa mère qui l’envoie valser dans un autre monde. Là, elle tente de se persuader qu’il ne s’agit que d’un rêve, sauf qu’elle est bien obligée de se rendre à l’évidence, ce qu’elle vit est bien réel ! Elle fait la rencontre d’un charmant jeune homme au torse musclé qui ferait baver plus d’une pucelle et sur sa route croise d’autres compagnons qui vont l’aider à comprendre ce monde, mais aussi ses origines (à elle, pas au monde!). Bref, je vais pas tout vous raconter, sinon y aurait plus d’intérêt à acheter ce livre (qui est pas cher, d’ailleurs, comme j’aime le faire remarquer).

Avis

Ce livre a beaucoup de points positifs ! Au premier abord, il paraît assez banal : une prophétie, un élu, une quête et une compagnie pour déjouer les mauvais desseins d’un roi tyran. Pourtant, Amélie se détache des autres livres de ce genre grâce à une imagination débordante ainsi qu’à un travail de longue haleine qui lui ont permis d’élaborer un monde complètement nouveaux. Ici, pas d’elfes ou nains comme on en a l’habitude, mais des peuples divers et variés dont les origines et coutumes sont parfois directement inspirées par l’histoire (qu’Amélie maîtrise, puisqu’elle est diplômée dans ce domaine). La genèse de son monde également, c’est magnifique ! Je ne peux que saluer son travail remarquable, sachant que mes propres capacités d’auteur sont vite limitées dans ce domaine. Là où Amélie a passé des années dans la conception de son histoire (combien ? Au moins 5 ans non ?), moi je suis rapidement gavée au bout de quelques mois d’écriture. Plus d’un an, n’en parlons pas, j’ai juste envie de terminer et de passer au suivant (certains de mes amis lecteurs peuvent confirmer)… Enfin, on ne parle pas de moi ici !

Ensuite, ce livre est facile à lire ! Alors qu’à ma lecture du Seigneur des anneaux (que je n’ai pas lu en entier, shame aussi) ou aussi d’Eragon j’étais exaspérée par les descriptions à rallonge, je suis ravie de pouvoir annoncer que je n’ai sauté aucun passage dans le cas de ce premier tome qu’est la terre des héros : Héritage. Amélie décrit les choses bien et avec efficacité ! On ne s’ennuie pas du tout et, surtout, on ne va pas se perdre dans la lourdeur.

Enfin, je n’ai quasiment aucune critique négative à faire sur ce livre, car la plupart des erreurs relevées, ce sont des erreurs que je reconnais faire moi aussi dans mes « oeuvres ». Par exemple : la rapidité du récit parfois (quand Aleya comprend/accepte un peu trop vite les choses par exemple) ou encore des petites erreurs par ci par là (manquement de mots ou fautes. Mais ça, on ne peut la blâmer, elle a tout fait toute seule et, croyez-moi,  corriger à la fois le fond et la forme, c’est délicat, surtout quand il s’agit de votre texte!). Ensuite, encore du positif, c’est la couverture ! Elle est franchement belle et donne envie, même si je me souviens que l’auteure elle-même m’avait dit que le vert sur une couverture n’attirait pas beaucoup les lecteurs. Et bien tu nous prouve le contraire ici !

Bref, vous aimez lire, vous aimez la fantasy et l’aventure ! Ce livre est fait pour vous ! Je lirai volontiers la suite et mon côté cucul espère qu’il y aura un peu plus de romance. Merci à toi Amélie !

Mais pas par là, bordel !

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La phrase plus haute est quasiment ma réaction à chaque fois que je visionne un film d’horreur. Vous savez, ces moments où les protagonistes font tous les gestes qu’une personne réelle ne ferait pas durant une situation des plus extrêmes (si, avouez ! Vous aussi vous feriez direct un arrêt cardiaque s’il vous arrivait une situation similaire à ce qu’ils vivent dans ces films là). Bref, à nouveau une réflexion sur des films, mais je me suis dit qu’elle était nécessaire, surtout après que je sois allée voir au cinéma le film The Conjuring 2 : le cas Enfield. Attention, la suite peut contenir des spoilers.

Je n’ai jamais été friande de films d’épouvante, mais depuis quelques jours, j’ai commencé à avoir une certaine fascination pour les films effrayants, aller savoir pourquoi ! Alors quand ma mère m’a proposé d’aller au cinéma, je me suis dit que ça pouvait être sympa d’aller voir le nouveau film qui d’après les critiques allait littéralement me faire faire pipi dans la culotte (Mmmh, je vends du rêve non ?!). Finalement, je l’ai trouvé un peu moins effrayant que le premier opus, même si je dois avouer que la nonne dégueulasse va juste me traumatiser pendant plusieurs jours (déjà que les nonnes ça me fait peur à la base… je rigole ! Quoique…). Enfin bref, je vous passe l’histoire, ce n’est pas ce qui m’intéresse ici, mais plutôt ces moments incontournables de tous films d’horreur qui se respectent : ceux où on a juste envie de hurler « Mais pourquoi tu fais ça ?! ». Vous savez, quand le personnage, principal ou non, entend un p***** de bruit effrayant dans la cave et qu’il prend sa lampe torche pour s’y rendre en criant des « Hello ?! Y a quelqu’un ? » en espérant je ne sais pas trop quoi, peut-être qu’un cambrioleur lui réponde (à la limite, on préfère ça au fantôme !). Dans le cas Enfield, on y coupe pas ! La gamine (pourquoi toujours des gamines ?! Elles font peurs !!) entend durant la nuit des tambourinements immondes à sa porte tandis que sa soeurette qui partage le lit voisin dort à points fermés. Tranquillement, elle se lève, pas de problèmes, et elle va ouvrir. Là, suspens ! Brad Pitt ?!!! Et bien non, personne. Encore, ça passe, on peut se dire que sa réaction reste normale. Sauf que, la veille, elle a clairement subi un phénomène paranormal qui aurait déjà réussi à me faire fuir (et lancer une bombe sur la maison, mais c’est un détail). Donc là, à sa place, j’entends des bruits louches la nuit juste après avoir vu un fantôme de pépé grognon dans mon salon, et bien j’ameute toute la maison et je fuis. Mais ici la petite est courageuse ! Elle prend une lampe de poche parce que les lampes, étrangement, ne veulent plus fonctionner (déjà, là, c’est louche. Moi maintenant quand mes lampes ne marchent plus,  j’ai le cœur qui s’arrête de battre !). Elle entend du bruit en bas et, naturellement, décide de descendre toute seule pour aller voir (une future super héroïne moi je dis !). Fallait s’y attendre, elle voit le papy sur son fauteuil et remonte en courant dans sa chambre. Sauf que pépé grognon il a décidé de la suivre en faisant des bruits de pas tonitruants, on a même pas besoin de la carte du Maraudeur pour savoir où il se trouve dans la maison ! La gamine se précipite dans son lit (nan mais depuis The Grudge, on sait tous que le lit ce n’est plus le lieu protecteur que c’était autrefois…) et tremblote de peur en entendant la chose arriver jusqu’à elle. Là encore, moi je me disais « mais quoi ?!!! Va réveiller ta sœur merde ! ». A sa place, j’aurais bondi sur le lit de ma sœur et me serais accrochée à elle comme à une bouée. Faut bien que la famille serve à quelque chose quand même ! A la limite, t’espère même qu’elle se fasse attaquer à ta place ! (bon… je dépasse un peu les bornes, j’avoue !)

Et chaque fois c’est pareil ! On a toujours le droit à des moments de ce genre qui n’auraient jamais lieu dans la vie réelle. « Tiens, une vieille maison abandonnée dans un marais glauque qu’on ne peut quitter avant l’aube et où un fantôme vengeur vit ? (La dame en noir). Oh ben ça a l’air sympa, je vais y passer la nuit, et puis c’est cool, j’avais besoin de vacances ! »… NOOON !!! « Hé mais y a quelqu’un dans ma cave et le vieux piano se met à jouer tout seul? (The Conjuring 1) Ah, bah ça doit être un cambrioleur, je vais lui dire tranquillement que je l’enferme en bas »… NOOON ! Le film Scary movie avait bien réussi à tourner la chose en dérision au sujet des films de serial killer. Lorsque la femme fuit un tueur psychopathe et se retrouve fasse à deux panneaux : l’un indique une zone sécurisée et la vie, l’autre une mort imminente. Bien sûr, elle file droit sur la gauche, empruntant le chemin qui la fera mourir. C’est exactement ça !

Sans parler de ce moment récurrent lui aussi où l’animal de la famille se met à avoir des comportements étranges, grognant ou feulant contre une créature invisible et tout le monde dans le film est là « qu’est-ce qu’il y a Rex ? Il est bizarre ces jours-ci » alors que tu hurles derrière ton écran « le fantôoooome purée, y a le fantôme !!!! ». Du coup, maintenant à chaque fois que mon chat regarde étrangement derrière moi alors que je suis en train de le caresser, je me mets à flipper grave. Un jour, il m’a fait le coup alors que lui et moi étions dans la salle de bain. J’étais seule pour la semaine dans notre maison familiale et Monsieur le chat avait décidé de me tenir compagnie tandis que je faisais trempette. J’avais laissé la porte entrebâillée pour lui permettre de sortir s’il lui en prenait l’envie, tandis que je chantais gaiement en me shampouinant la tête. Soudainement, le chat s’est redressé, oreilles en arrière, et s’est mis à grogner en redressant ses poils avant de détaler comme un lapin à l’extérieur de la pièce. Je suis restée un moment les yeux ronds à fixer la porte entrebâillée, m’attendant à voir surgir une créature d’outre tombe. Qu’est-ce que j’ai fais alors ? Dans un film d’horreur, je me serais levée en tenue d’Eve, j’aurais enveloppé mon corps d’une serviette et serais sortie encore dégoulinante et prononçant d’une voix niaise : « Réglisse, qu’est-ce qu’il y a mon minou ? Où es-tu ? ». Je l’aurais alors cherché dans la maison, puis j’aurais entendu des bruits bizarres, m’amenant à poser la question fatidique : « Il y a quelqu’un ? ». A ce moment là aurait surgi la créature immonde et je serais décédée comme une débile et à poil en plus (je doute qu’une serviette tienne dans ce genre de situation) ! Non, au lieu de cela, je me suis levée de ma baignoire, j’ai vite fermé la porte à clé, je me suis empressée de me rhabiller et je suis sortie avec les poings levés plus que prête à affronter le danger. Sauf que le chat était là, assis tranquillement dans le couloir, à me fixer de son regard qui a franchement l’air de dire « t’as l’air d’une idiote… ». Pas de trace d’un fantôme ou d’un psychopathe… Juste moi et ma paranoïa profonde (et le chat !).

Conclusion, donc, de toute cette histoire : je devrais peut-être arrêter de regarder des films d’épouvantes…

Ménage à trois au paradis ?

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Il y a une question qui m’a toujours taraudée… Celle-ci m’est venue à plusieurs occasions : lors de visionnage de films, de séries, ou encore à la lecture d’un roman. Je n’utiliserai cependant qu’un exemple ici, celui du film Titanic de James Cameron où cette question ne cesse de revenir. Attention, si vous n’avez jamais vu ce film, ce qui va suivre risque de vous spoiler.

A la fin du film, alors que la Rose âgée ferme les yeux pour la dernière fois sur un navire qui surplombe l’épave du Titanic reposant à presque 4000 mètres de profondeur (3 821 mètres pour être précise, merci wikipédia !), nous descendons dans l’obscurité de l’océan retrouver les décombres de l’indestructible (pas tant que ça finalement) paquebot qui soudain semble renaître de ses cendres (oui… bon, pas super comme expression sachant qu’on est dans l’eau, mais j’essaie de faire des envolées lyriques !). Et là —merveilleux ! — la douce musique du film qui, après nous avoir fait pleurer toutes les larmes de notre corps, nous donne le sourire jusqu’aux oreilles (et encore des larmes, pour les très sensibles) tandis qu’apparaît en haut de l’escalier le beau Léo, vêtu de sa tenue de beauf mais avec sa coiffure de jeune premier qui ne craint pas l’eau. Celui-ci accueille sa bien aimée qui n’est plus la mamie ridée d’avant, mais semble fraîche comme la rose (le jeu de mot ! Rose et rose ! Hahaha… ok je sors…). Les mains se touchent, les sourires jaillissent et, enfin, un baiser sous le tonnerre d’applaudissement du public (qui, bien que mort, apprécie les jolies histoires d’amour, quand même !). Enfin bref, c’est le happy end quoi. La belle musique, le bisou, la joie, la bonne humeur… Aaaah, ça laisse rêveur ! Sauf que moi, non, y a un léger petit détail qui me taraude. Rien de bien méchant, évidemment, mais je suis pointilleuse et ce genre d’oubli me titille légèrement. ET LE MARI DE ROSE ALORS ?!!?!!?

Là, vous me dites « attends, quel mari de Rose ? ». Et bien oui, mon ami lecteur, Rose elle s’est mariée ! Souvenez-vous, avant que Jack trépasse, elle lui a promis de vivre heureuse et de faire pleins de jolis bébés. Et comme Rose c’est une femme de parole, et ben elle s’est exécutée bien sagement. Pour preuve, c’est qui la jolie jeune femme qui l’accompagne au début du film et tire sa chaise roulante ?! Sa petite fille ! Et oui ! Et comment on en arrive à avoir des petites filles ? En ayant d’abord un enfant ! Et comment on fait les enfants ? Avec un chéri ! (Ici, on en apprend des choses dis donc !). Chéri qui est son mari, car elle se fait appeler Rose Calvert et non plus Dawson (avant sa rencontre avec Jack, son nom est Rose Dewitt Bukater) ! J’imagine très bien la rencontre entre Rose et le père de ses enfants. Dévastée, Rose arrive à New York et tente de vivre une nouvelle vie d’orpheline sans le sou (ce qui est dur, parce que la pauvre elle a été riche toute sa vie). Un jour, plusieurs mois après le naufrage, elle se rend dans un parc pour penser à sa triste vie, se remémorer la beauté de son amour avec Jack et tâcher d’oublier le traumatisme du Titanic. Arrive alors un jeune homme habillé à la dernière mode, transportant une mallette en cuir pleine de paperasses ennuyantes du cabinet d’avocat où il tente de se faire un nom. Epuisé, il prend place sur le banc à côté d’elle, d’abord aveugle et sourd à tout ce qui se passe autour de lui, trop occupé qu’il est à penser à l’affaire sur laquelle il travaille et dont il ne voit pas le bout. Puis, soudain, alors qu’il commençait à se dire qu’il ferait mieux de rentrer dans le Minnesota, sa terre natale, il entend les pleurs de Rose. Le jeune homme tourne les yeux et, sous le choc, contemple cette beauté qui semble vivre l’un des plus tristes jours de son existence (s’il savait !). La bouche sensuelle, les cheveux scintillants comme des flammes, le profond regard bleu… Aussitôt, il tombe sous le charme de cette beauté peu commune au visage triste. Et la pensée qui le traverse alors c’est « Je veux redonner le sourire à cette femme. Mon dieu, permettez-moi de lui apporter le bonheur ! ». Une minute plus tard, le voilà qui lui tend un mouchoir brodé par sa mère et portant ses initiales. Il lui parle avec bienveillance, ses propres ennuis s’envolent tant il est accaparé par le désir de faire s’évaporer ceux de cette femme qu’il aime déjà sans même la connaître. Ils se quittent trente minutes plus tard, mais il la reverra, car elle a encore son mouchoir à lui rendre. Ainsi commence leur histoire. Plusieurs rendez-vous dans les rues froides et grises de New York, puis le premier baiser après plusieurs mois, et enfin la véritable étreinte (Et ouais, faut se laisser désirer Rose !). Il l’épouse et l’emmène visiter le monde, lui donnant la vie de rêve qu’elle a toujours souhaitée, l’aidant à exaucer cette promesse qu’elle a faite à Jack dans la nuit glacée du 14 au 15 avril 1912. Il connaît l’histoire de Rose sur le Titanic, mais il sait qu’il ne faut pas courir après un fantôme et ne lui parle jamais de cette histoire d’amour merveilleuse et éphémère avec Jack (et puis il est un peu jaloux aussi, mais chut !). Ils auront des enfants, une multitude ! Plus âgé qu’elle, il s’éteindra finalement avant sa femme, dans son lit lui aussi, mais par une nuit brûlante de l’été et espérant l’avoir rendue aussi heureuse qu’elle ne l’avait rendu heureux.

Alors oui, la question que je me pose est légitime ! Que devient ce mari aimant qui, comme Jack, doit attendre son aimée là-haut au paradis ? Son cœur a-t-il cessé de battre une seconde fois lorsqu’il s’est rendu compte qu’elle était descendue rejoindre Jack ?! Dieu a-t-il prévu une annexe spéciale au paradis pour les veufs et veuves avec une mention « ménage à trois » ? Je l’accorde, mon questionnement implique donc de croire en dieu et, aussi, de croire en une vie après la mort, mais dans le film c’est possible, puisque Rose rejoint Jack ! A-t-elle dû faire un choix dans ce cas ? Le paradis se révélant plutôt moche alors pour cet époux délaissé. Pauvre vieux ! (Oui je sais, je m’emballe pour ce personnage fictif dont j’ai inventé la vie, mais laissez-moi donc, crénom !).

Finalement, l’explication qui me semble la plus raisonnable (et la moins triste), c’est que Rose a bien eu un époux, mais qu’ils ont fini par divorcer après une quinzaine d’années de mariage pas si heureux. C’est moins beau, mais au moins on évite une âme meurtrie ou, pire, la polyandrie au paradis…

 

The end.

Ps : vous connaissez d’autres exemples de ce genre ?

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Bonjour et bienvenue sur ma page d’auteure Coralie Darcy !

Ici, je publierai des informations sur mes romans ainsi que des articles concernant ma vie quotidienne, mes réflexions et mes envies. Vous trouverez ici plusieurs styles d’écriture, car je suis un caméléon qui aime essayer diverses choses, même si j’avoue être plus axée sur la fantasy et la romance.  J’espère qu’ensemble nous passerons un agréable moment !

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